mercredi 13 octobre 2010
lundi 9 août 2010
Petite soirée dans le Vieux-Québec
Je vous invite à aller voir le lien suivant pour plus de détais: Visites fantômes de Québec
jeudi 4 mars 2010
Aurez-vous des remords de conscience au prochain achat d'un jeans délavé?
"Toutes les grandes marques de mode proposent des jeans délavés. Râpés, vieillis, troués, les jeans sont de plus en plus travaillés. Plus le délavage est sophistiqué, plus la paire coûte cher, jusqu’à 400 $.
Certaines grandes marques de mode internationales sous-traitent une partie de leur production de jeans en Turquie. Jusqu’au printemps dernier, de nombreux ateliers turcs utilisaient la technique du sablage pour les blanchir. Des ouvriers projetaient sur les jeans du sable à haute pression dans de petites cabines sans aération. Ils travaillaient sans protection et respiraient les poussières hautement toxiques. Cette pratique est totalement interdite dans l'Union européenne. En avril 2009, la Turquie a finalement décidé de l’interdire à son tour.
Officiellement, 600 ouvriers turcs sont atteints de silicose. En réalité, ils seraient des milliers. En Europe, au siècle dernier, la silicose a décimé des centaines de milliers de mineurs. Elle réapparaît aujourd'hui en Turquie, sous une forme foudroyante, avec une issue fatale plus rapide. Quarante-quatre ouvriers sont morts, la plupart avaient moins de 30 ans.
Les multinationales de la mode étaient-elles au courant des effets dévastateurs du sablage? Dans quelles conditions sont produits aujourd'hui les jeans des grandes marques en Turquie? L'équipe de l'agence Premières Lignes télévision a rencontré les victimes et enquêté dans les ateliers d'Istanbul. Rares sont les usines qui respectent les normes de sécurité. "
lundi 26 octobre 2009
Halloween au zoo de Granby
dimanche 20 septembre 2009
samedi 19 septembre 2009
Voyage exotique
En effet, il est possible depuis 2002 de pénétrer légalement sur le territoire et de visiter la ville morte de Tchernobyl, Pripyat. Le site est toujours radioactif , en dessous de la dose mortelle et il est interdit de toucher à quoi que ce soit, il faut d'ailleurs rester sur le pavé et ne pas trop s'attarder.
Le départ se fait à partir de Kiev, et une fois le point de contrôle de Dytyatky franchi, vous pourrez voir le sarcophage qui recouvre le réacteur numéro 4, celui qui a explosé en 1986.
Vous pourrez également errer entre les appartements, les écoles, les hôtels et les jardins d'enfants dramatiquement déserts depuis l'accident. Au village d'Opachychi, des rescapés de la tragédie vous partageront leurs souvenirs. Par la suite, vous pourrez faire un détour par la Red Forest. Ce qui fut auparavant une forêt de pins, elle a été rasée après la catastrophe et entièrement enterrée. Elle est la zone la plus contaminée du monde.
vendredi 4 septembre 2009
Les enfants nés au printemps défavorisés pour les places en CPE
3 1/2 ans avant d'avoir le premier appel pour une place disponible. Ma deuxième étant né au mois de septembre, j'aurais eu une place à son 1 an. Quelle ne fut pas ma surprise de savoir en lisant un article sur cyberpresse, que ce favoritisme n'était pas seulement une question que la majorité des places se libèrent en septembre quand les plus vieux entrent à l'école, mais que c'était plus relié à une question financière. En effet, dans un article de La Presse du 31 août 2009, on rapportait ceci:
..."L'explication n'est pas simple. Il faut savoir qu'il existe deux types de subventions pour les bambins qui fréquentent les CPE. Le gouvernement verse 57,70$ par jour pour les enfants de 0 à 17 mois. Ces petits se retrouvent dans les groupes de «poupons» où le ratio éducatrice/enfants est plus élevé. Les enfants âgés de plus de 18 mois se retrouvent dans des groupes avec moins d'éducatrices; pour eux, la subvention est de 37,30$ par jour.
Dans les faits, les groupes d'enfants de 18 mois et plus sont toujours remplis à pleine capacité dans les CPE. Les rares places se libèrent habituellement en septembre, quand des plus vieux partent pour l'école. En milieu d'année, quand aucune place n'est libre dans les groupes plus vieux, des bambins de 18 mois et plus doivent séjourner plus longtemps que prévu dans leurs groupes de poupons.
Pour remédier à cette situation, le gouvernement accepte de continuer de verser la «grosse» subvention de 57,70$ par jour pour les enfants de 18 à 23 mois qui sont toujours dans des groupes de poupons, explique le porte-parole du ministère de l'Éducation, Étienne Gauthier.
Mais dès qu'un enfant dépasse 23 mois, le CPE ne reçoit plus que 37,30$ par jour, peu importe que l'enfant se trouve ou non dans un groupe de poupons, affirme le président de l'Association québécoise des CPE, Jean Robitaille. «Pour les CPE, garder un enfant de 2 ans et plus dans un groupe de poupons, c'est une perte majeure d'argent. Les CPE doivent payer les éducatrices de ces groupes, qui sont plus nombreuses, mais ils ne reçoivent que 37,30$ par jour», explique-t-il.
Selon M. Robitaille, un CPE ayant deux ou trois enfants dans cette situation peut perdre jusqu'à 15 000$ par année. «À cause de cette règle budgétaire, certains enfants peuvent être refusés dans les CPE. La discrimination est inacceptable, mais vous savez, les directions de CPE ne roulent pas sur l'or», avance M. Robitaille.
Les enfants nés au printemps sont particulièrement défavorisés par cette politique budgétaire. C'est le cas de la petite Charlotte. Puisqu'elle n'aura pas encore 18 mois cet automne, elle devra attendre à l'automne suivant avant d'obtenir une place dans les groupes plus vieux. Elle devrait donc passer une année supplémentaire dans son groupe de poupons. Mais en juin, quand elle aura 2 ans, le CPE ne recevra plus que 37,30$ par jour pour Charlotte, même si elle sera toujours dans un groupe de poupons. Cette perte d'argent effraie plusieurs CPE, qui préfèrent ne pas accepter la petite."...