mercredi 13 octobre 2010

La palourde royale...

J'en ris encore! À se tordre...


lundi 9 août 2010

Petite soirée dans le Vieux-Québec

Samedi dernier, nous sommes allés dans le Vieux-Québec, plus particulìerement dans le Petit-Champlain pour participer aux fameuses Visites fantômes de Québec. Mais avant de vous raconter de quoi il en retourne, laissez-moi vous raconter le début de la soirée. Bien sûr, en fin de semaine dernière, c'était les fêtes de la Nouvelle-France avec sa meute de touristes et tous ses gens costumés. Vers l'heure du souper, nous essayâmes de trouver un resto. Après plusieurs tentatives et plusieurs refus (c'était complet partout avec un délai d'attente interminable), nous nous ramassâmes Au Délice du Roi sur la rue St-Pierre à Québec. J'ai commandé un osso bocco au veau et une soupe à l'ognion gratinée. Mon amie, elle, des raviolis au homard. La nourriture était bonne, mais côté qualité prix on repassera. Mon amie devait avoir 6 raviolis dans son assiette pour la modique somme de 18 $ avec les taxes tandis que moi, j'ai été me chercher une queue de castor pour essayer de boucher un coin. Ça m'a couté 35$ pour ma soupe et mon ossobucco. À moins qu'à cause de l'affluence, il commençait à manquer de nourriture, cet endroit est à classer dans ma boîte "Trappe à touristes"...


Pour ce qui est des Visites fantômes de Québec, alors là, chapeau! Un comédien, évidemment déguisé, à la lueur d'une lanterne, nous fait parcourir les rues du Vieux-Québec en nous relatant différentes histoires de meutres, de tragédies et de fantômes. Avec son style très théâtral, notre guide était très convainquant dans son rôle. Pour le clou de la visite, on a même eu l'occasion d'entrer dans l'un des lieux les plus hantés du Vieux-Québec. Si vous êtes sensibles à ce genre de phénomènes, vous aurez peut-être l'occasion d'assister à une apparition. Personnes avec limitations physiques, s'abstenir, car vous ne manquerez pas une bonne dose d'exercices.
Je vous invite à aller voir le lien suivant pour plus de détais: Visites fantômes de Québec

jeudi 4 mars 2010

Aurez-vous des remords de conscience au prochain achat d'un jeans délavé?

J'ai écouté ce soir un reportage de l'émission Enquête à Radio-Canada, celui du 25 février dernier. Je vous mets le synopsis ci-dessous. Par contre, vous ne pourrez le voir sur le web de Radio-Canada à cause de droits d'auteur, mais j'ai trouvé un résumé sur you tube. À voir... Je retourne à mon hibernation temporaire...

"Toutes les grandes marques de mode proposent des jeans délavés. Râpés, vieillis, troués, les jeans sont de plus en plus travaillés. Plus le délavage est sophistiqué, plus la paire coûte cher, jusqu’à 400 $.

Certaines grandes marques de mode internationales sous-traitent une partie de leur production de jeans en Turquie. Jusqu’au printemps dernier, de nombreux ateliers turcs utilisaient la technique du sablage pour les blanchir. Des ouvriers projetaient sur les jeans du sable à haute pression dans de petites cabines sans aération. Ils travaillaient sans protection et respiraient les poussières hautement toxiques. Cette pratique est totalement interdite dans l'Union européenne. En avril 2009, la Turquie a finalement décidé de l’interdire à son tour.

Officiellement, 600 ouvriers turcs sont atteints de silicose. En réalité, ils seraient des milliers. En Europe, au siècle dernier, la silicose a décimé des centaines de milliers de mineurs. Elle réapparaît aujourd'hui en Turquie, sous une forme foudroyante, avec une issue fatale plus rapide. Quarante-quatre ouvriers sont morts, la plupart avaient moins de 30 ans.

Les multinationales de la mode étaient-elles au courant des effets dévastateurs du sablage? Dans quelles conditions sont produits aujourd'hui les jeans des grandes marques en Turquie? L'équipe de l'agence Premières Lignes télévision a rencontré les victimes et enquêté dans les ateliers d'Istanbul. Rares sont les usines qui respectent les normes de sécurité.
"